Harry Potter...Un dernier et après, on change de sujet !
Pour ces auteurs, la sorcellerie, c'est génétique.
Et c'est plus précisement récessif !
Il y a les homozygotes, ceux qui ont deux copies du gène "Sorcier", l’une héritée de leur mère, l’autre de leur père, et qui sont donc sorciers.
Il y a les hétérozygotes, qui ont un gène "Sorcier" et un gène "Moldu"...Eux n'ont pas de pouvoir.
Enfin, les homozygotes "Moldu-Moldu" n'ont pas de pouvoir non plus !
Pour ces auteurs, la pénétrance est probablement incomplète.
Ca signifie qu'être homozygote "Sorcier-Sorcier" ne suffit pas en soit.
Même avec ce patrimoine génétique, certains individus exprimeront complètement le phénotype "sorcier" (c'est le cas d'Harry Potter, qui "touche sa bille" en magie...)
A l’inverse, d'autres, avec le même patrimoine génétique « Gène Sorcier » en deux exemplaires, ne touchent pas du tout…mais alors pas du tout (c'est le cas de Neville, qui est un magicien peu doué).
Certaines mutations peuvent apparaître...
Les individus porteurs des gènes "Sorcier" en deux exemplaires, mais qui, cependant, n'ont aucun pouvoir magique, en sont peut être les victimes...
La génétique explique tout, même l’imaginaire de J.K Rowling ?